Sokaku Takeda naquit en 1858 dans une famille du clan d’Aizu. Petit-fils de Takumi Takeda, fondateur de l’école Takeda-ryû d’aïki-jûtsû, il perpétua à son tour les techniques d’aïki-jûtsû dont il fut le seul dépositaire…
Continue readingLes 47 ronins, la voie de la fidélité
Par une froide nuit de l’an 1702, une petite troupe de samouraï se glisse dans les rues désertes de la capitale. Ils sont au nombre de 47 et portent armures, sabres et diverses armes qu’ils ne cherchent apparemment pas à dissimuler. Le silence règne dans les rangs où chaque visage reflète une détermination sans faille…
Continue readingMiyamoto Musashi, la voie de la tactique
Miyamoto Musashi naquit en 1584 dans la province de Harima. Son enfance se déroula en pleine période de l’âge de la guerre. En 1600, il n’avait pas 17 ans lorsqu’il participa à la grande bataille de Sekigahara. Les troupes auxquelles appartenait Musashi furent balayées. Musashi devint rônin…
Continue readingLe Bushidô, une voie de vie
Alors qu’au XIIème siècle, les samouraï pouvant mourir à tout moment au combat, une Voie des guerriers paraissait parfaitement naturelle, au XVIIème siècle, en période de paix, les samouraï n’en perçoivent plus nécessairement le fondement. Certains en éprouvent toutefois de la nostalgie, et, l’éloignement aidant, évoquent les temps anciens, où les guerriers étaient valeureux et plein de force…
Continue readingYagyû Munenori, la voie du non-sabre
Un samouraï se rendit un jour auprès de Yagyû Munenori, grand maître de sabre et maître d’arme du shôgun. Il avait l’intention de devenir son élève.
Le visiteur l’assura n’avoir étudié dans aucune école particulière, sa connaissance des techniques de sabre se limitant à ce que tout samouraï devait savoir. Yagyû Munenori l’observa plus attentivement. L’homme semblait sincère.Pourtant, son intuition lui disait que ce samouraï avait atteint l’ultime étape de cet art. Soucieux de percer son secret, il décida de l’interroger…
Musô Gonnosuke, la voie du jô
Contrairement au sabre, le jô est une arme qui assomme mais ne verse pas le sang. Exempt de la souillure du guerrier, il est l’arme des moines par excellence qui l’utilisaient pour se défendre dans les contrées inhospitalières qu’ils traversaient…
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