A travers le respect de l’étiquette, en japonais Reïshiki (l’ensemble des règles qui régissent la vie dans le dojo), nous essayons de conserver l’aspect traditionnel du cadre dans lequel nous enseignons. De plus, la tenue de l’Aïkidoka, composée principalement du Keikogi (souvent appelé Kimono par abus de langage) et du Hakama (jupe-culotte), la pratique sur des tatamis, l’apprentissage des noms de techniques en japonais sont autant de symboles visant à préserver une transmission aussi fidèle que possible à celle du fondateur de l’Aïkido, Morihei Ueshiba.